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    Un peu d'humour....

    LE MYSTERE DE LA FONDATION DES CITEES GRECQUES.

    "Il n'est de richesse que d'hommes " Jean Bodin (1576).


    Un "Miracle Grec" enfin expliqué

    Comment les GRECS s'y sont-ils pris pour fonder de nouvelles citées ?
    C'est très important de le savoir car notre civilisation occidentale à vu le jour grâce aux citées grecques.

    Ce n'est que lorsque qu'elles sont devenues plus importantes et plus nombreuses que la civilisation a enfin pu se développer.

    La cause première, la raison profonde qui rendit cela possible
    est restée longtemps ignorée.

    Jusqu'à ce que je me penche sur le problème.

    Voici pour la première fois l'explication portée à la connaissance du public.


    Commençons par un fait historique bien connu des spécialistes.

    Ils partaient à quatre ou cinq navires de 100 à 120 hommes.
    Rien que des hommes !!!

    L'aventure était périlleuse.

    Comptons pour rien les dangers de la navigation.
    A l'arrivée le combat contre les indigènes pour s'installer.
    Le boulot pour construire le port. Et la clientèle fallait la trouver ! !
    Ca s'amorti pas comme ça un port !!!

    Ceci sans compter le plus grave.

    A l'arrivée, pas de RMI, ni allocation logement. Pas de soins gratuits, ni d'école gratuite pour les enfants.(c'est pour ça qu'on
    partait sans !)
    A vous dégoûter d'immigrer !

    Comment faire pour trouver des candidats à l'aventure ?
    Surtout des qualifiés, pas le rebus de la citée ?

    C'est là que le génie Grec se déploie dans toute sa splendeur.

    On l'a dit. Ils partaient sans femmes. Handicap supplémentaire ? Oh que non.

    Admirez.

    L'immigré Grec en était informé, dès la naissance :
    Il trouvera femme dans le pays d'acceuil.

    Et pièce maîtresse du dispositif :

    "Il ne pourrait pas communiquer avec sa belle mère."

    la vieille ne pourrait pas l'emm... !!!

    Le temps que sa femme apprenne le grec et lui la langue de sa femme, il fallait attendre que les enfants fassent les interprètes.
    Au moins douze à treize ans de tranquillité.
    Autant dire qu'elle reste dans son village la belle mère.

    Cet avantage énorme n'ayant pas de prix, étant donné l'exiguïté des habitats. Il valait bien tous les sacrifices.

    Vous allez penser : nous aussi avec les belles mères ....

    Oui nous sommes de culture grecque !!!


    3 commentaires


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